Février
NOIR DESSIN
Françoise Bailly
« Peintures et pastels récents »
Galerie Ombre et Lumière

26 Janvier – 22 Février
49, rue Georges Clémenceau
35400 Saint-Servan
Ouvert :
mardi, jeudi, vendredi, samedi
de 14h30 à 18h30.
Contact : galerie.ombre.lumière@gmail.com
Tél. : 06 32 86 19 94
Pauleen K
à la Galerie Instagram
à Lausanne


Contact :
Galerie Instagram à Lausanne, quartier de Flon
www.reliefateliergalerie.com
Anthologie de la poésie en Bretagne
XXème siècle

contact :
editions-calligrammes@orange.fr
http://calligrammes-editions.fr
Atlas des traversées
sous la direction de Chantal Bideau

Au cœur de cet Atlas des traversées, point de cartes mais des images et histoires du monde vues à travers le regard singulier d’artistes et de poètes ayant participé, depuis 2007, à des éditions et des résidences croisées, entre la Bretagne et l’Argentine, le Chili, la Croatie, la Colombie, le Québec.
Une première escale nous plonge dans le voyage initiatique à l’origine du projet, depuis le moment où l’idée de partir de l’autre côté du monde a germé. Des citations (poètes, penseurs…) ponctuent ce journal de bord.
Contact : éditions Travesias : info@travesias.fr
Yves Prié
créateur des
éditions Folle Avoine

Un savoir – faire et une passion au service de plusieurs collections magnifiques, de poésie et de livres d’artistes. Des oeuvres de papier nées de la complicité de ses amis peintres, tels François Béalu, François Dilasser, Nicolas Fédorenko, Gérard Guezennec, Georges Le Bayon, Michel Pagnou, Roland Sénéca…


Carnets de l’île
Georges Le Bayon – Yves Prié

L’île connait le poids
De ses pierres
Dans leur débauche de couleurs
elles inscrivent
la violence de son émergence
Dans la faille
brisée du jour
elles meurent
de leur dernier éclat
Je dirai le monde
Je révélerai le soleil noir
qui ronge les marées
l’orange amère des nostalgies
et la solitude de l’oiseau
dans son vol
Je dirai l’instant
où le rivage disparaît
dans l’à-pic d’une falaise
Renseignements et contact :
ÉDITIONS FOLLE AVOINE
folle.avoine@wanadoo.fr
Bertrand Bracaval
« Parcours des deux rives »
Estampes, dessins, peintures, livres d’artistes

Si l’on peut éventuellement déplorer que la visite d’atelier n’ait plus cours, les oeuvres étant repérées dans les salons, lieux d’exposition ou revues d’art, c’est-à-dire déjà sélectionnées et présentées sous une certaine scénographie, annoncées par toute une littérature critique, ou publicité, glaçant la vision spontanée, le coup de coeur, l’approche singulière, Patrick Simon est le genre de galeriste qui a contrario n’hésite pas à se déplacer pour découvrir le lieu du travail en cours d’élaboration.
Cela me semblait naturel de lui proposer les toiles peintes l’été dernier pour mon exposition à Cape Cod en septembre et n’ayant jamais été vues en France. Ces peintures acryliques sans châssis ayant l’avantage de pouvoir être pliées dans une valise, facilitant le transport. Mais notre ami une fois sur place voulait tout voir et, fouillant dans les piles de tableaux, en vint à jeter son dévolu sur une huile de 1969, de cette période noire du temps où je me cherchais, qui ne plut qu’à certains de mes proches amis et ne connut jamais d’acquéreurs, à mon désespoir sur le moment, alors qu’avec le recul, je suis plutôt heureux de les avoir sous la main, ayant de fait gardé la possibilité de les montrer.
Cependant autant de telles pièces avaient trouvé leur place dans l’exposition au Musée Bernard Boesch, au Pouliguen, en automne 2017 (Retour aux sources) – le bâtiment offrant plusieurs salles permettant de séparer les inspirations différentes – autant cela me posait problème de confronter dans un espace d’un seul tenant des productions des tout débuts à côté d’autres d’actualité, laissant sans transition un vide de cinquante années (!), présentant les deux extrêmes d’un parcours, les deux rives d’une recherche, sans donner au visiteur de repères sur le cheminement entre les deux. La suggestion a germé dans mon esprit et finalement pensé-je, si le concept est inhabituel, le pari quelque peu risqué, l’exercice aura peut-être l’attrait d’un jeu de contre-point, de montrer les deux facettes d’une même vision, la même question de la lumière, en tous cas le choix d’un amateur.
Bertrand Bracaval
7 novembre 2019
du 18 février au 21 mars
Galerie Arts V12
12, rue Valdemaine – 49100 Angers
18 février – 21 mars
du mardi au samedi
10 h 30 – 12 h 30 et 14 h 30 – 18 h
Contact : 06 27 72 33 04
Images de justice
Estelle Ribeyre, Cécile Rescan et Émilie Morin

PARLEMENT DE BRETAGNE
Salle des Pas Perdus
Du lundi au vendredi
9h-12h et 14h-17h>


Une exposition d’Estelle Ribeyre, Cécile Rescan et Émilie Morin, qui présente des recherches visuelles et sensibles autour du vécu des comparutions immédiates. Avec comme point d’ancrage l’affaire Bagelstein (Rennes 2016) et la reprise du journal d’Amaël Tertrais, écrit à la prison de Vezin-le-Coquet de mai à août 2016.
Cet assemblage de fragments gravés, photographies, textes, documentaires sonores, témoin d’une mise en tension entre le droit commun et la justice d’exception, gravite autour de la reprise du texte de Michel Foucault, « La Stratégie du pourtour ». Cet écrit, datant de 1979, fait référence à la première loi anticasseurs, promulguée le 8 juin 1970 suite aux évènements de mai 1968.
« Rendre visible un axe de fragilité, ligne de hors sens et de déliaison tracé à vif d’une frontière entre le dicible et l’indicible, le pensable et l’impensable.Patiemment agencer les signes, relier les fragments d’un commun, donner forme à une articulation du sensible. Travailler le négatif.
Faire de l’errance un lieu, une surface. Dessiner des points d’appui. Chercher une voix survivance de paroles et discours fantômes »
Catherine Denis
« Février à Paris »
Salon de la peinture à l’eau au Grand-Palais à Paris
C’est un écrit
de Marie Laureillard
« L’inspiration musicale
des créations calligraphiques
de Catherine Denis »
paru en décembre dans un ouvrage collectif
aux éditions « L’Harmattan »
——
C’est une invitation
à l’Institut National d’Histoire de l’Art
rue Vivienne à Paris
autour d’écritures picturales :
pseudographies, métagraphies, asémies
avec Myriam El Haïk
——
C’est la présentation
d’une sphère calligraphique
au Salon de la peinture à l’eau
au Grand-Palais à Paris
12 février – 16 février


